TEAM
Skaters
Nous soutenons quelques-uns des meilleurs skaters angevins. Retrouve-les sur les spots ou sur leur page Instagram. N’hésite pas à leur poser des questions, ils sont toujours avenant et prêt à te montrer comment faire des tricks.
Hippolyte Paquereau
Le 24 décembre 2001, à Angers.
2013.
2019.
Le partage, la variété des tricks.
les blessures (et le flat haha).
L’authenticité, l’ambiance !
Flip « Extremely Sorry ! » (Ma première vidéo 🙂 ), Louie Lopez « West End ».
Louie Lopez.
Mathieu Malestroit
le 10 octobre 1992 à Angers.
2008.
Septembre 2018.
Ce que je préfère dans le skate c’est tout d’abord le skate, l’objet en lui-même, qui m’a toujours attiré. Si je dois développer je dirais que le skate a tellement apporté à ma personne que ce soit dans mon style, dans ma culture, mes liens sociaux, mon tempérament, ma façon de m’exprimer que je dois lui dire « Je t’aime ».
Le grand marketing autour du skate. On vit à une époque où on met un skater dans une pub pour te vendre une montre, une assurance, de la lessive ou même un aspirateur. Je trouve ça malsain.
Avant tout Johan, c’est lui qui m’a conseillé, grippé et monté mes premières boards. J’ai passé pas mal de temps là-bas, que ce soit en tant que client ou même en stage. On se sent bien quand on passe à la boutique.
Baker « 3 », Alien Workshop « Minfield », Fallen « Ride the Sky », la « Spirit Quest » de Colin Read.
Je peux en citer tellement ! Mais les premiers qui me viennent en tête c’est Vincent Touzery, Daan Vanderlinden, Tom Knox, Deedz’s, Jarne Verbruggen sans oublier David Metivier 😉 .
Mathieu Malestroit
le 10 octobre 1992 à Angers.
2008.
Septembre 2018.
Ce que je préfère dans le skate c’est tout d’abord le skate, l’objet en lui-même, qui m’a toujours attiré. Si je dois développer je dirais que le skate a tellement apporté à ma personne que ce soit dans mon style, dans ma culture, mes liens sociaux, mon tempérament, ma façon de m’exprimer que je dois lui dire « Je t’aime ».
Le grand marketing autour du skate. On vit à une époque où on met un skater dans une pub pour te vendre une montre, une assurance, de la lessive ou même un aspirateur. Je trouve ça malsaint.
Avant tout Johan, c’est lui qui m’a conseillé, grippé et monté mes premières boards. J’ai passé pas mal de temps là-bas, que ce soit en tant que client ou même en stage. On se sent bien quand on passe à la boutique.
Baker « 3 », Alien Workshop « Minfield », Fallen « Ride the Sky », la « Spirit Quest » de Colin Read.
Je peux en citer tellement ! Mais les premiers qui me viennent en tête c’est Vincent Touzery, Daan Vanderlinden, Tom Knox, Deedz’s, Jarne Verbruggen sans oublier David Metivier 😉 .
Claudian Lebreton
Le 12 février 1994, à Angers.
Depuis 2007.Ça fait maintenant 11 ans que le skate et moi on s'est dit OUI ! (rédigé en 2020).
Juillet 2020.
Le skate c'est toujours nouveau : des nouveaux spots, des nouveaux tricks, des nouveaux potes. Tout le monde est cool ! Et puis ça me permet surtout de m'évader.
Ennuyant dans le skate ? La pluie !!
Les gars sont au top au shop évidemment (bisous Benoît et Yo).
Supreme "Cherry".
Love U Dylan Rieder.
Claudian Lebreton
Le 12 février 1994, à Angers.
Depuis 2007.Ça fait maintenant 11 ans que le skate et moi on s'est dit OUI ! (rédigé en 2020).
Juillet 2020.
Le skate c'est toujours nouveau : des nouveaux spots, des nouveaux tricks, des nouveaux potes. Tout le monde est cool ! Et puis ça me permet surtout de m'évader.
Ennuyant dans le skate ? La pluie !!
Les gars sont au top au shop évidemment (bisous Benoît et Yo).
Supreme "Cherry".
Love U Dylan Rieder.
Lucas Monin
le 7 février 1997, à Epernay.
2009.
2018.
Dépasser ses limites et les copains.
Le skate tue le corps.
La passion du skateboard , la gentillesse, et
l'écoute.
Primitive « Encore » et la Almost « Chris Haslam and Daewon Song Cheese and Crackers » ; ma première vidéo de skate que j'ai regardée 1 000 000 de fois quand j'étais gamin.
Chris Joslin et Paul Rodriguez.
Julien Garreau
le 2 février 1987, à Angers.
J’ai commencé à réellement pratiquer le skateboard en 2001, donc ça fait bientôt 20 ans 😉 (rédigé en 2020).
Friend du shop depuis toujours.
La communauté dans son ensemble, elle a toujours fait grandir le skate angevin. En fait, j’ai toujours vu le skate un peu comme une grande famille et bien qu’on le pratique de manière individuel, on progresse aussi énormément grâce aux autres.
Casser des boards, mais genre je déteste vraiment ça !!! À chaque fois c’est une telle déception, je pense juste qu’une board on l’a choisie et ça fait comme un gosse qui casse son jouet (Perso je m’en veux à mort à chaque fois). En vrai je crois que j’aurais aimé toutes les garder intactes et même la vieille board Cartel de l’époque.
Je me rappelle encore quand j’ai débuté le skate, les marques américaines m’ont toujours attiré. Je suis rentré la première fois dans le shop et je voyais toutes ces boards des marques que j’adorais. C’était le rêve !!! J’ai toujours eu de très bons conseils dans le shop depuis que je suis gamin et encore aujourd’hui ça n’a pas changé. Le Skateshop Tarmac a, je pense, énormément contribué à me faire devenir le skateur que je suis aujourd’hui, c’est un peu ma famille dans le skate.
Flip « Sorry » et surtout la part de Bastien Salabanzi. Dans les récentes, j’aime beaucoup la Primitive « Encore » ; une team incroyable et une bande son que je trouve géniale.
Neen Williams sans aucun doute 😉 Le skate a toujours été pour moi un truc un peu hors des sentiers battus, j’aime l’idée qu’on puisse décider de ce que l’on veut faire de sa vie et je pense qu’il est un bon exemple de changement radical de vie. C’est aussi pour moi un skateur incroyablement doué et son style me parle vraiment.
Si l’on parle de la scène skate française, ce serait Bastien Salabanzi, car c’est lui qui m’a vraiment donné envie de bosser mes premiers tricks de skate.
Felix Docteur
le 16 mai 1999, à Vannes.
2018 je pense.
Fin novembre 2020.
L’état d’esprit, pas de pression, chill, tranquille, ça rigole bien.
L’état d’esprit de certains plus jeunes (ils veulent à tout prix un sponsor. J’ai l’impression qu'ils ne skatent que pour ça, je ne vois plus tellement de plaisir). Ils veulent les derniers pants à la mode, font tout pour ressembler aux grandes stars et du coup ça revient aux sponsors...
L’ambiance, on rigole bien. Le staff est très agréable, très large choix de plateaux, diversité en vêtements qui commencent à être bien cool. Le soutien que vous m’apportez.
Je regarde pas tellement de vidéo de skate, mais la dernière que j’ai regardée et qui m’a choqué c’est celle de Brayan Albarenga, un espagnol de Barcelone.
Sinon en skater de référence j’en ai pas du tout, je suis pas trop dans ce délire.
Julien Garreau
le 2 février 1987, à Angers.
J’ai commencé à réellement pratiquer le skateboard en 2001, donc ça fait bientôt 20 ans 😉 (rédigé en 2020).
Friend du shop depuis toujours.
La communauté dans son ensemble, elle a toujours fait grandir le skate angevin. En fait, j’ai toujours vu le skate un peu comme une grande famille et bien qu’on le pratique de manière individuel, on progresse aussi énormément grâce aux autres.
Casser des boards, mais genre je déteste vraiment ça !!! À chaque fois c’est une telle déception, je pense juste qu’une board on l’a choisie et ça fait comme un gosse qui casse son jouet (Perso je m’en veux à mort à chaque fois). En vrai je crois que j’aurais aimé toutes les garder intactes et même la vieille board Cartel de l’époque.
Je me rappelle encore quand j’ai débuté le skate, les marques américaines m’ont toujours attiré. Je suis rentré la première fois dans le shop et je voyais toutes ces boards des marques que j’adorais. C’était le rêve !!! J’ai toujours eu de très bons conseils dans le shop depuis que je suis gamin et encore aujourd’hui ça n’a pas changé. Le Skateshop Tarmac a, je pense, énormément contribué à me faire devenir le skateur que je suis aujourd’hui, c’est un peu ma famille dans le skate.
Flip « Sorry » et surtout la part de Bastien Salabanzi. Dans les récentes, j’aime beaucoup la Primitive « Encore » ; une team incroyable et une bande son que je trouve géniale.
Neen Williams sans aucun doute 😉 Le skate a toujours été pour moi un truc un peu hors des sentiers battus, j’aime l’idée qu’on puisse décider de ce que l’on veut faire de sa vie et je pense qu’il est un bon exemple de changement radical de vie. C’est aussi pour moi un skateur incroyablement doué et son style me parle vraiment.
Si l’on parle de la scène skate française, ce serait Bastien Salabanzi, car c’est lui qui m’a vraiment donné envie de bosser mes premiers tricks de skate.